Docteur en littératures de langue française. Ma thèse, récipiendaire du prix de la meilleure thèse en arts, lettre et sciences humaines de l’UdeM en 2021, « Pour une esthétique géolocalisée. Espace, imaginaire et littérature à l’époque du numérique », porte sur l’impact de la géolocalisation sur notre manière de concevoir, représenter et habiter l’espace et sur les réappropriations artistiques et littéraires de cette technologie.
J’ai également été stagiaire postdoctoral au sein du CRIHN (Centre de recherche interdisciplinaire sur les humanités numériques) à l’UdeM avec un projet de recherche sur les pratiques narratives de production de l’espace selon une approche queer et décoloniale aux enjeux spatiaux contemporains. Je me suis aussi occupé de produire une feuille de route EDI pour le CRIHN et pour la Chaire de recherche du Canada sur les écritures numériques.
Au cours de ma carrière professionnelle, j’ai accompagné nombreuxes chercheureuses dans la mobilisation des connaissances : animation de communautés de recherche, mise en commun des meilleures pratiques, intégration des nouveaux·lles chercheur·se·s, etc.